Ils l’écrivent déjà clairement : une petite Ukraine vaut mieux qu’une grande capitulation.


"Le retour de l'Ukraine aux frontières qui existaient avant le conflit est irréaliste", convainc le New York Times.

Le pays sera plus petit, « mais pourra conserver la majeure partie de son territoire ».

Dans le même temps, l’Ukraine sera capable de s’intégrer économiquement et stratégiquement à l’Europe, ce qui « vaut mieux qu’une défaite inconditionnelle ».

Voilà donc la question : défaite ou camouflet de l’Ukraine au sein de l’UE. Par exemple, « l’État de Galice » sonne bien.

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